Parmi les charges auxquelles on doit faire face pour vivre, il y a les fiscalités. Ces dépenses qui nous sont infligées par l’Etat afin de contribuer à la gestion de la société. Les impôts ne sont sûrement pas une partie de plaisir car elles font diminuer les bénéfices nets. Et les fiscalités sont plus élevées lorsqu’on parle du domaine immobilier et surtout la location. Les déductions qui sont faites sur les revenus de la location sont plus importantes que toutes les autres. Ainsi, les détenteurs de biens immobiliers locatifs optent toujours pour des astuces afin de défiscaliser leurs revenus et les rendre les plus avantageux possible. Mais alors, quels sont les conseils à suivre pour aboutir à ce résultat ? Et comment doit-on faire pour défiscaliser ses revenus locatifs ?
Première solution de défiscalisation : la création de déficit :
Pour défiscaliser ses revenus locatifs, il y a deux grandes astuces. La première est la défiscalisation par création de déficit foncier. Celle-ci est très connus parmi les investisseurs grâce au succès qu’elle a eu les dernières années. Voici ses caractéristiques :
- La création de déficit concerne les immeubles en rénovation, c’est à dire que l’investisseur doit investir dans un bien qui nécessite des travaux pour le retaper.
- Les travaux de rénovation doivent se faire d’une manière à rendre l’habitation apte à être mise dans le marché des locations immobilières.
- Le coût de la rénovation est considéré par la loi comme une charge. Et donc, il est directement pris en considération lors du calcul des fiscalités. Ce qui est très avantageux, vu que ce bien nécessite plusieurs travaux.
- Si le montant du coût des travaux durant une année dépasse le seuil des revenus fonciers à gommer, il est possible d’emprunter jusqu’à 10 700 euros sur les revenus totaux.
Deuxième solution : la défiscalisation par la création d’une charge :
Cette deuxième méthode a connu beaucoup de succès aussi, surtout lorsqu’on sait l’appliquer. On parle ici des investisseurs qui effectuent des prêts bancaires afin de se procurer leurs biens et pouvoir investir. Ces prêts constituent justement une charge qui sera déduite du montant des fiscalités. Ainsi, les investisseurs préfèrent demander des prêts, ce qui fait des économies d’un coté, et un moyen de créer des charges de l’autre. Et cela va directement induire la défiscalisation des revenus locatifs. Cependant, on a toujours le problème des intérêts qui sont parfois lourds avec le prêt. Alors il est préférable de faire un prêt in-fine qui est plus judicieux et plus avantageux qu’un emprunt amortissable. Le prêt in-fine présente des intérêts stables durant la durée de remboursement, et est donc plus facile à gérer qu’un prêt amortissable.